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lundi, 26 juin 2017

L'album de la semaine : Axel Bauer, La désintégrale

Le clip de la semaine - Buridane - La Transition

Le clip de la semaine - Buridane - La Transition

Camille Hardouin - Effrontément / Festival Paroles & Musiques

Camille Hardouin - Effrontément / Festival Paroles & Musiques

Babel - Tu Mens (Session Live)

Babel - Tu Mens (Session Live)

L'Insatiable - Elle s’appelle Lior

C’est au Cent-quatre, à Paris, lieu de « partage culturel, » que le 23 mai précisément à 20H30 s’est amarrée cette fois Lior Shoov. Chanteuse, clown, musicienne, tribun, vagabond, elle est venue se livrer et nous livrer à nous-mêmes.

Elle entre en scène comme ça, vêtue d’un long tissu ample, un t-shirt, un genre de Marcel. Sur le muscle de son bras, elle a enroulé un tissu rouge. Elle est coiffée, ou non, plutôt légèrement décoiffée, les cheveux assez courts. Sa silhouette est fine et athlétique, sa démarche est volontairement saccadée… Elle laisse son corps s’envelopper sur lui-même, sur elle-même. Elle le laisse choisir. Puis se tourne, se plie, comme si elle voulait en extirper la moindre retenue, la moindre gêne, la moindre timidité. Pour démarrer son rituel, elle se murmure à elle-même quelque chose… Comme pour se réconforter, se calmer de son anxiété. Les murmures qu’elle s’adresse nous parviennent de sa voix douce, réconfortante. En fait, ils nous exhortent à les laisser nous traverser. Ils nous aident à lâcher prise, à abandonner nos conventions, nos jugements, le confort de vies trop bien rangées.

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L'Insatiable - Elle s’appelle Lior

C’est au Cent-quatre, à Paris, lieu de « partage culturel, » que le 23 mai précisément à 20H30 s’est amarrée cette fois Lior Shoov. Chanteuse, clown, musicienne, tribun, vagabond, elle est venue se livrer et nous livrer à nous-mêmes.

Elle entre en scène comme ça, vêtue d’un long tissu ample, un t-shirt, un genre de Marcel. Sur le muscle de son bras, elle a enroulé un tissu rouge. Elle est coiffée, ou non, plutôt légèrement décoiffée, les cheveux assez courts. Sa silhouette est fine et athlétique, sa démarche est volontairement saccadée… Elle laisse son corps s’envelopper sur lui-même, sur elle-même. Elle le laisse choisir. Puis se tourne, se plie, comme si elle voulait en extirper la moindre retenue, la moindre gêne, la moindre timidité. Pour démarrer son rituel, elle se murmure à elle-même quelque chose… Comme pour se réconforter, se calmer de son anxiété. Les murmures qu’elle s’adresse nous parviennent de sa voix douce, réconfortante. En fait, ils nous exhortent à les laisser nous traverser. Ils nous aident à lâcher prise, à abandonner nos conventions, nos jugements, le confort de vies trop bien rangées.

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Buridane - Le Serment

Buridane - Le Serment